Utopiales 2014 : Les films en compétition

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Dirigé par Marcus Kryler

[tabs tab_names=’Synopsis|Avis de Margoth’ style=’1′ initial=’1′]

[tab]Sophie vit seule avec sa mère dans une ferme isolée au milieu de nulle part. Un endroit étrange qui cache un secret bien plus grave qu’elle ne pouvait l’imaginer.

[youtube width= »590″ height= »376″]https://www.youtube.com/watch?v=YVP0I2KnRrI[/youtube]
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[tab]Des courts-métrages, la première chose qui revient souvent dans mes non-appréciations, c’est la liberté que prennent certains réalisateurs de partir vers des délires expérimentaux qui ne me parlent absolument pas. Et en cela, Reset en est un excellent exemple. Élu gagnant par le jury, je dois bien dire que j’ai du mal à cerner ce qu’ils ont bien pu lui trouver de fameux. Plutôt ennuyeux, pas vraiment clair dans son dénouement, le tout enrobé d’un minimalisme qui m’a vraiment paru creux. Très certainement le pire film que j’ai vu lors de ces Utopiales. Par chance, il était court, c’est déjà ça de gagné.[/tab]
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Dirigé par Giacomo Cimini

[tabs tab_names=’Synopsis|Avis de Margoth’ style=’1′ initial=’1′]

[tab]Ayant brisé ses lunettes, un homme doit laisser son fils, seul, dans leur appartement hermétiquement fermé, le temps d’aller les faire réparer. Ignorant les instructions de son père, l’enfant le suit et découvre la vérité horrible et violente du monde extérieur.

[youtube width= »590″ height= »376″]https://www.youtube.com/watch?v=q7DKUC_8yCg[/youtube]
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[tab]J’ai toujours eu un gros problème avec les courts-métrages. Et voir les deux qui ont été élus gagnants ne m’a vraiment pas réconcilié avec le principe. Pour The Nostalgist, c’est vraiment le fait d’être resté sur ma faim qui m’a beaucoup dérangé : ce court-métrage avait beaucoup de potentiel pour en faire un film à part entière. Il suffisait juste d’étoffer le contexte et le background et le tout était plié avec la même trame pour une durée totale d’1h30. Un peu plus de détail et de profondeur l’auraient même bonifiés je pense. Parce que je trouve que The Nostalgist a tout du candidat idéal : un Lambert Wilson comme acteur de luxe, des effets plutôt bien foutus, un univers loin d’être carton. Bref, on sent que les moyens étaient là, les idées aussi, de même qu’une bonne base (il s’agit à la base d’une nouvelle). Et ça se laisse voir avec une telle facilité que je n’aurais pas été contre quelques lichettes supplémentaires.[/tab]
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